L’association Barrameda a été constituée pour permettre à Patrice Pleutret de se lancer dans de nouveaux défis après une dizaine d’années passées à tenter de se rétablir d’un accident puis d’un pitoyable fait divers – et, plus particulièrement après la réussite d’un défi d’expédition vers le toit du monde au Népal (en 2013).
Patrice Pleutret c’est moi (vous l’aurez compris). Ce défi vers le Toit du Monde, c’est ce qui fut ma carotte pour tenir pendant autant d’années. Après cela, il fallait continuer. Continuer ? C’est l’évidence même. Mais, la cinquantaine arrivée et me trouvant limité non seulement financièrement mais aussi par un état d’handicapé, certes réduit mais qui se rappelle régulièrement à moi (je ne peux, par exemple, porter que des charges peu importantes, et je sais vite que je sollicite trop mon cœur…), il était inconcevable de ne penser qu’à l’exploit physique.
Passionné de voyages, ayant découvert le réel pouvoir de thérapies parallèles qui m’ont permis de me rétablir, ayant une grande aptitude au contact notamment grâce à une facilité pour les langues, mais aussi étant particulièrement sensible à la nature et sa préservation, j’ai élaboré de nouveaux défis autour de ces points d’attrait. Je pourrais d’ailleurs dire que ceux-ci se sont presque imposés naturellement. Restait à les mettre en capacité de réalisation. Et à leur donner les moyens de leur réalisation.
Voyant que ma façon de rédiger et de prendre des photos plaît manifestement (au moins à une quantité pas trop limitée de personnes) – comme mon goût de faire partager mes découvertes, j’ai pensé à ce site comme fenêtre sur les rencontres ou les expériences que je suis amené à faire.
Je n’entends en aucun cas rivaliser avec Géo, National Geographic ou équivalents…
J’espère simplement, d’une part, me permettre de vivre de nouvelles expériences de voyages-expédition et de rencontres (notamment avec des thérapeutes traditionnels de divers pays) ; d’autre part, montrer que c’est possible, donner envie… Et puis : faire passer des messages à un niveau que je qualifierai de copain. Et obtenir des réactions que, peut-être, des magazines et organisations bien structurés ne stimulent pas. Je pense notamment à alerter sur certaines dégradations, sur des comportements à avoir… Ou à des projets à aider – comme j’ai pu le découvrir en croisant ce petit monsieur retraité, au Cambodge, qui a conçu un projet, après des études en France, qui permettrait d’aider grandement la vie des paysans locaux.